Sa violence tant visuelle que verbale (parler de célébration gratuite de celle-ci ne paraît pas, en l'espèce, exagéré). Sa présentation de l'aggressivité tant offensive que défensive comme seul moyen de faire face à une situation ou d'entrer en relation avec autrui. Ses quelques images ou propos particulièrement choquants (bras arraché, armes à proximité des visages, torrents d'hémoglobine, un des héros évoque le fait qu'enfant il a enforcé un crayon dans l'oeil d'un de ses "camarades"...) Sa narration sur un mode a-émotionnel voire léger qui accentue l'instrumentalisation des personnages et les présente échappant à tout libre arbitre et à toute responsabilité (le fait de vivre les situations à la façon d'un psychopathe est donnée comme banale)
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