De sa présentation de parents démissionnaires incapables de proposer un cadre de vie structurant à leur fille de 8 ans à lequelle ne reste, dès lors, que l'issue d'entrer dans un rôle inapproprié à son âge: celui de la parentification. De l'absence de tout adulte de référence permettant à la jeune Jeliza-Rose de grandir et d'être en relation de confiance avec l'autre. De quelques images chocs comme celle ou l'enfant aide son père à s'injecter de l'héroine, de la mort des parents d'overdose, de l'embaumement/ plastification des corps des défunts. D'allusions à une sexualité malsaine à consonance pédophile et incestueuse. Du refuge de Jeliza-Rose dans un délire que la coupe de la réalité qui la pousse à trancher la tête de ses poupées et à construire avec celles-ci des jeux et des dialogues irrationels, effrayants et nuisibles à l'équilibre de sa santé mentale.
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