Entraîne le jeune spectateur dans des mésaventures labyrinthiques dont il risque de ne retenir que les scènes les plus violentes: celles, nombreuses, dans lesquelles les armes sont présentées comme le prolongement organique des personages et comme le seul mode de contact entre soi et les autres. Si l'on ne connaît pas l'oeuvre du cinéaste, une impression de déconstruction et d'éclatement peu procipe à la mise en place de structures lisibles dont on a besoin à l'adolescence.
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